vendredi 31 octobre 2014




En retard comme toujours, j'ai tout de même eu le temps de faire un ex-libris pour le festival d'Aire sur l'Adour, qui aura lieu en décembre, comme signalé plus loin...

vendredi 10 octobre 2014




Deux petits ajouts concernant l'air du temps, catégories "appendice capillaire" et "posture crispée"...


mercredi 8 octobre 2014

Nouveaux boulots, projets et cie...



En avant-avant première ( oui, parce que je n'en suis qu'à la planche 21!), un petit aperçu de ce sur quoi je travaille en ce moment... ( les couleurs ont légèrement jauni, j'ai un petit problème de réglage avec mon scann! ). 

Un peu de pub...

Nicolas Albert, un journaliste et amateur éclairé de bandes dessinées vient de lancer un nouveau site dédié à la BD... Y flâner intéressera tous ceux qui, comme moi, restent fascinés par les ateliers des auteurs et les illustrations qui surgissent sous le crayon comme par magie!


Allez voir!

lundi 6 octobre 2014



Et oui, sur les Ombres du Styx!
S'il est trop tard pour signaler celles que j'ai faites à Bordeaux ( BDfugue , ) et à Rochefort ( Bulles en cavales), il ne l'est pas pour les dates suivantes:
je serai les 18 et 19 octobre à Bassillac,
et les 6 et 7 décembre à Aire sur l'Adour...



vendredi 5 septembre 2014

Leptis Magna ( les Ombres du Styx), suite...


Oui, parce que Leptis Magna était le titre original de la série. 
Que j'aurais aimé garder, mais l'éditeur n'était pas chaud...
Voici donc deux pages, en attendant l'album qui devrait sortir en fin de semaine prochaine!
Et comme c'est une trilogie, l'histoire est désormais complète...

...relisez donc les deux premiers tomes! Bon, pour les paresseux, il y a un résumé au début du bouquin... :-)



jeudi 14 août 2014



LES FOUILLES D' ANGEAC, REBELOTE !

...ça fait maintenant 10 jours que la 5ème campagne de fouilles d'Angeac-Charente s'est achevée.
Pour ceux qui suivent le paléo-blog de Mazan, je n'ai rien à ajouter.
Pour ceux qui ignorent de quoi il retourne, voici un résumé ultra-light:
en 2008, l'exploitant d'une carrière de graviers, à 10km d'Angoulême, ramène une vertèbre fossilisée de sauropode ( un diplodocus, en gros) dans sa pelleteuse. 
En 2010, première campagne de fouilles, au cours de laquelle le désormais fameux GIGANTISSIME fémur de 2m20 de long est découvert ( on a tenu le record jusqu'en mai dernier, où l'Argentine nous a volé la vedette en alignant un os de 2m40 - enfin, cela reste à vérifier!-.
Bref, depuis, chaque été, on creuse ( on: des chercheurs dûment titrés, patentés, diligentés, plus une armée d'étudiants bénévoles). Et chaque été, on dessine ( Mazan reconstitue les bestioles dont on retrouve les os, je croque les patients gratte-boue pliés en quatre, le nez sur les multiples restes que livre le site ).
Et voici un aperçu de la cuvée 2014:

Les préparatifs...



Oui, parce qu'au début de l'été, le chantier ressemble à ça ( plus la faune qui va avec):


-cliquez sur les images pour les agrandir-

héros du quotidien, Bill, Doumé, Camille, Jean et les autres savent monter des structures tubulaires pour tentes Xxl, installer des passerelles de bois, se démerder avec les pompes récalcitrantes, creuser des toilettes sèches, alors qu'en temps normal, ils sont conservateur ou préparateur au musée d'Angoulême, étudiants ou enseignants...




Les fouilles...

Une fois le chantier opérationnel et l'équipe réunie, les choses sérieuses peuvent commencer.
On excave, à la truelle et au couteau à huître, seau à portée de main...





...on cote ( numéro, date, emplacement, identification) ce qui est intéressant...





...on plâtre les belles trouvailles fragiles tout en continuant à excaver ( avec l'espoir d'être le joueur gagnant du loto du jour)...






...et on tamise, histoire de ne rien oublier ( certaines dents font à peine 5mm de hauteur, sur 2 d'épaisseur).






Et puis on se restaure, ( y'a plusieurs gamins sur les lieux, on est en plein juillet et les fouilleurs aussi ont une famille, ça vire au camping familial), on goûte ( la moitié des bénévoles ont 20 ans et une fin de croissance à nourrir)...




...on se bat contre les éléments, aussi, les dieux de la pluie étant trop généreux cette année ( et non, la Charente n'est PAS le SEUL département où il y a eu un temps de chiottes cette année, faut arrêter avec les clichés, il faisait moche presque partout; bon, ça ne nous a pas aidés...)...







Entre les tempêtes, on trouve des os, des carapaces de tortue, des dents et des végétaux fossiles magnifiques.
Mais là, il faudra attendre un peu, que mon fils en ait fini avec le scanner, le reste de mes croquis se trouvant uniquement dans mon carnet. Thomas, c'est quand tu veux...

Bien, j'ai récupéré le matos à mon profit, je disais donc, des os magnifiques...





...qu'il faut parfois savoir reconstituer, pendant que d'autres préparent le terrain pour les découvertes suivantes.


mardi 10 juin 2014

Lettre ouverte à mme la ministre de la culture...Pour ne pas crever sans se battre!

Je publie ici la lettre ouverte que nous, auteurs de BD, avons envoyé ce matin à la ministre de la culture, dont nous dépendons.
A la suite de cette lettre, dans le document original, se trouvent rassemblés près de 800 noms d'auteurs, certains très connus,; il est temps qu'on se rassemble,et qu'on soit solidaires les uns des autres...Pour ceux que ça intéresse, vous trouverez certainement les infos sur les réseaux sociaux et notamment sur le site du SNAC, notre syndicat.


Madame la Ministre,
Le temps est-il venu de nous dire adieu ?
Depuis des années, sans bruit, sans révolte, nous survivons par passion pour notre métier, pour nos histoires et ceux qui les lisent, mais aujourd'hui, nous voyons notre fin approcher et nous refusons de nous y résigner.
À cela s'ajoute la paupérisation croissante qui frappe les auteurs, que ce soit au travers des baisses d'avances ou de pourcentages, ou par l'apparition de formules numériques illimitées qui ne rémunéreront personne, sinon les diffuseurs.
Alors qu'il semblait impossible d'aggraver davantage la situation, le RAAP vient de nous annoncer abruptement, par simple courrier et sans consultation d'aucune sorte, qu'à compter de janvier 2016 nous allions devoir cotiser à hauteur de 8 % de nos revenus pour financer notre retraite complémentaire obligatoire. Actuellement les auteurs peuvent cotiser à cet organisme privé en ne versant qu’une cotisation minimale de 200 € par an.

Madame, nous vous prions de considérer avec gravité cette dernière raison de notre juste colère autant que de notre dégoût. Dans quel autre métier inflige-t-on des baisses de revenus aussi importantes à des travailleurs déjà fragilisés ? Des « travailleurs de l'esprit » qui ne bénéficient d'ailleurs pas des avantages que peut offrir le régime général (chômage, congés payés, 13e mois)...
En mars dernier, à l'occasion du Salon du Livre de Paris, le Conseil Permanent des Écrivains avait tiré la sonnette d'alarme, exposant de nombreux motifs d'inquiétude sur l'avenir immédiat de notre profession.
Cette réforme soudaine et irréfléchie, les auteurs n'en veulent pas. Ils la rejettent au motif premier qu'elle est INACCEPTABLE autant qu’inapplicable.
Même si nous sommes évidemment favorables à un système solidaire des retraites, et ne sommes pas à ce titre opposés à une réforme juste, mesurée et concertée, croyez-vous que les auteurs pourront, en plus de leurs autres sacrifices, se priver de 8 % de leurs revenus afin de s'acquitter de nouvelles cotisations sociales ? Ceci représente l'équivalent de presque un mois de revenus, alors que la plupart d'entre eux ne gagnent pas assez pour payer des impôts et peinent à boucler leurs fins de mois. Nous vous rappelons, Madame la Ministre que le revenu de la moitié des auteurs de BD se situe (hélas) bien en dessous du SMIC. Il est urgent que cette réalité soit prise en compte, avant de réformer quoi que ce soit.
Depuis l'annonce de cette réforme, des auteurs, certains très précarisés, d'autres ayant vendu des centaines de milliers de livres, ont déclaré qu'ils abandonnaient le métier. Ils sont écœurés, fatigués et ne croient plus en des lendemains meilleurs alors qu'ils sont les premiers acteurs, et pourtant les plus mal lotis, de la chaîne du livre. Au rythme où vont les choses, leur exemple sera bientôt suivi par de nombreux confrères.
Dans un pays où le taux de chômage est croissant, nous créons notre propre emploi. Mieux, nous sommes à l'origine de milliers d'autres. Sur le plan économique, l'industrie culturelle est la quatrième plus rentable de France, comme votre ministère s'en est récemment enorgueilli. Sans parler de la vitrine qu'il représente à l'étranger, le marché du livre représente 80 000 emplois et 5,6 milliards d'euros. NOUS, AUTEURS, sommes à l'origine de cette richesse, de cette dynamique.
Nous demandons dès à présent la suspension de l'application de cette réforme et nous vous invitons à réfléchir et à faire réfléchir AVEC NOUS à la meilleure façon de conduire cette réforme de financement des retraites complémentaires pour qu'elle aille dans le sens d’un réel progrès social. La piste qui nous apparaît comme la plus évidente serait d’envisager un réel financement de la couverture sociale des auteurs par les acteurs de la chaîne du livre qui bénéficient le plus du travail de ces professionnels, comme c'est le cas dans d'autres domaines artistiques. À titre d’exemple, pour le RACD, les producteurs financent en partie la cotisation des auteurs, sans affecter le niveau des rémunérations nettes.
Notre lettre exprime les opinions majoritaires du monde de la bande dessinée, opinions partagées par bien des artistes et des écrivains avec qui nous comptons agir très prochainement.
Les auteurs signataires de cette lettre souhaitent, isolément ou à travers les représentants de leurs organisations professionnelles, engager une action de concertation constructive avec leurs
interlocuteurs (Ministères concernés, RAAP, Agessa/MDA, SNE...), à partir du moment où des
garanties d'écoute réciproque existent.
Dans le cas contraire, nous envisageons, dès septembre 2014, l'organisation d'actions collectives et
médiatiques de blocage ou d'opposition par toutes les voies légales autorisées.
Les idées ne manquent pas. Après tout, c'est notre métier. Les auteurs. 

dimanche 25 mai 2014

Un séisme secoue en ce moment notre profession, et je tiens à m' en faire l'écho...Voici une lettre que j'ai envoyé à notre régime de retraite complémentaire, obligatoire, qui vient de changer les règles du jeu, passant sans concertations d'un système où l'on avait le choix entre 5 classes de cotisations, à un prélèvement de 8% de nos revenus ( les revenus pris en compte sont ceux avant les versements des cotisations de sécurité sociale)...


Monsieur le président ( j'ai un peu de mal à vous appeler cher confrère),

j'ai, comme tous les auteurs de bandes-dessinées, reçu votre courrier nous informant de la prochaine augmentation de notre cotisation;
il va falloir que je la savoure à sa juste valeur;
elle appelle d'ors et déjà 2 remarques, l'une sur la forme, l'autre sur le fond.
Sur la forme, votre lettre est insultante.
Faire passer cette augmentation obligatoire pour de la sollicitude à notre égard, clamer la main sur le coeur que vous vous souciez de nos vieux jours et que vous hypothéquez notre présent pour assurer notre futur, c'est malvenu.
Comme si vous ignoriiez que la majorité des auteurs de BD cotisent à la classe spéciale non par avarice ou imprévoyance, mais parce qu'ils ne peuvent débourser plus!
( si vous l'ignorez, c'est aussi grave: je suggère en ce cas au conseil d'administration dans son entier de mettre le pied dans la vraie vie et d'aller à la rencontre des personnes-nous- dont il est censé défendre les intérêts!!)
Sur le fond,le contenu de votre lettre est symptomatique de l'époque et de la société dans laquelle nous vivons: on privilégie non pas celui qui crée ou qui produit, mais celui qui sert d'intermédiaire; les grands éditeurs se portent fort bien, merci pour eux!
Finalement, par cette augmentation des cotisations, vous allez peut être réussir une seule chose: celle de nous fédérer.
Il serait temps!

Isabelle Dethan


Pour tous ceux qui ne sauraient pas de quoi je parle, je me suis permis de faire suivre la lettre ouverte d'Eric Wantiez, qui résume assez bien notre situation professionnelle ...

Lettre ouverte aux lecteurs...
24 mai 2014, 11:24
A partir du 1° janvier 2016, nos charges sociales vont augmenter d'une façon extrêmement importante, sans aucune amélioration de la couverture sociale. Être auteur ce sera laisser 23% de son revenu en charges sociales. Comme un salarié, en gros.

Mais l'auteur n'est pas "comme un salarié".

L'auteur n'a pas de congés payés, pas de droits au chômage, pas de tickets restaurants, pas de mutuelle. En échange de ses 23% il n'a qu'une couverture sociale minimum, une future pension de retraite dérisoire et une retraite complémentaire qui, de l'aveu même de la caisse qui gère ça, est en moyenne de 1500 € par an.

L'auteur paye le loyer, l'électricité, le chauffage, l'assurance, la femme de ménage de son lieu de travail. Il paye son ordi, son imprimante, son scanner, ses photocopies; son accès internet, son téléphone pro, ses stylos, ses pinceaux, son bureau, sa chaise, la machine à café et les bouquins pour la documentation. Heureusement, il pourra royalement déduire 10% pour frais professionnels sur sa feuille d'impôts...

L'auteur trouve lui même son "employeur". Pour cela, il monte à ses frais des dossiers de présentation qu'il envoie à ses éditeurs préférés, à ses frais toujours. Les projets dont personne ne voudra auront demandé des mois de travail sans aucune rémunération et finiront dans un tiroir oublié ou à la corbeille. Il est de plus sans cesse à la merci de l'arrêt de sa série sans même qu'on lui ait donné une chance de s'imposer auprès des lecteurs, à cause d'un changement de directeur de collection, ou de politique éditoriale, ou de je ne sais quoi d'autre.

L'auteur un tant soit peu reconnu court les festivals pour y faire des dédicaces. Sans aucune rémunération, là encore. On l'invite, bien sûr, on le nourrit, on le loge et on lui paye les frais de déplacements sur les festivals, mais il ne touche rien pour les heures passées à signer ses œuvres.

En BD ou en livre jeunesse où il y a la plupart du temps 2 auteurs, le scénariste et le dessinateur auxquels il faut parfois ajouter le coloriste, l'auteur touche entre 4 et 5% de droits d'auteurs.
C'est pas beaucoup ! Sur une BD à 15 €, ça fait entre 0,60 et 0,75 €. Enlevons les charges sociales, ça donne entre 0,49 et 0,61 €. Pour atteindre le montant d'un smic, il doit donc vendre entre 1.851 et 2.304 livres par mois... Sur l'année entre 22.212 et 27.648 livres.
Et bien sur, sur ce smic, restent à retirer tous les frais des paragraphes 2 et 3 de cet article...

Voilà... Voilà pourquoi nous avons peur de mourir. Voilà pourquoi nous sommes en colère.
Nous ne savons pas quoi faire.
S'unir et agir ? Oui, mais nous sommes si peu nombreux ! Qui nous entendra ?
Changer de métier ? Mais c'est que nous l'aimons, ce métier, suffisamment pour le faire depuis des années en ne gagnant pas grand chose.
Diversifier nos activités ? Mais c'est que nous en faisons, des heures et qu'à part en inventant la journée de 30 heures, ce n'est pas vraiment possible.

Alors vous, les lecteurs, aidez nous à survivre.
Parce les livres, ça nous fait vibrer, rêver, rire, pleurer...
Vivre quoi...



lundi 31 mars 2014

Décor de couverture...



Je n'ai pas été très active, ces dernières semaines sur ce blog...
Il se trouve qu'on m'a demandé de fournir les visuels pour la couverture du tome 3 des Ombres du Styx - ci-dessus, le décor du fond, qui reprend des éléments de l'architecture funéraire tripolitaine des premiers siècles, ce qui cadre bien avec le titre de cet album: " In Mémoriam "...

En parallèle, je cogite sur mes projets futurs: tous estampillés "antiquité", le premier en est à la phase contrats, le second à la phase "dossier à envoyer aux éditeurs", le troisième à la phase "rédaction du scénario" ( dès que je signe les contrats, hop, je montrerai des recherches et des planches...), le quatrième à la phase "je me prends le chou avec mon coauteur Mazan sur le découpage de Mimo II". 
A ceux qui s'étonneraient d'un tel déploiement d'énergie sur des dossiers encore virtuels, je répondrai que j'adore changer de sujet ( ça évite l'ennui!), et que, comme tous les auteurs, n'ayant pas droit aux allocations chômage, j'anticipe! 

samedi 1 mars 2014

vendredi 28 février 2014


Allez, encore un petit tour dans l'eau - après quoi, je m'intéresserai aux bottes et couvre-chefs ( vu le temps qu'il fait, ce sera d'actualité...)


vendredi 21 février 2014

Décomposé de planche...






Me voilà bientôt à la fin de mon tome 3 des Ombres du Styx...
Comme je travaille en couleurs directes, je n'ai généralement aucune trace des étapes intermédiaires.
Alors, pour une fois, j'ai pris le temps de scanner ces différents moments, depuis le crayonné jusqu'à la couleur finale: où l'on voit que je travaille de manière désordonnée et brouillonne, mais c'est ça qui fait le sel de la chose, surtout quand je cleane et que la planche donne l'impression de naître d'elle-même...


Planche 41, donc:









samedi 8 février 2014

Une semaine déjà ( que le festival est fini.)...

...et qu'on a repris une vie normale, avec les mômes et leurs copains à chercher, les factures et les abonnements à résilier ( ah, les opérateurs de téléphonie mobile ou pas et leur robot obtus et redondant!), les courses et les lunettes à changer...Quoi qu'il en soit, bon festival pour moi, si je le mesure à l'aune des projets dont j'ai pu discuter avec les éditeurs et des dessinateurs dont je suis fan. Et le stand du Marquis a connu un franc succès, merci à tous ceux qui sont venus nous voir!
En attendant de pouvoir publier des recherches et des planches de mes prochains albums, voici quelques croquis pris il y a un an et demi, qui me serviront peut être un jour, et sur lesquels je suis retombée en cherchant des dessins de meubles grecs dans mon gros carnet-de-crobarts-d'-objets-antiques-vus-dans -les-musées-et-sites-historiques (que j'appelle aussi mon Petit Catalogue d'Antiquités, ouaip, rien que ça!).




Ce village est le fruit de recherches faites par une bande de passionnés , ils ont ainsi reconstitué à la fois des maisons et des greniers gaulois, mais ont aussi ressuscité des techniques d'artisanat et de combat, sans oublier les nourritures terrestres...


dimanche 26 janvier 2014

Chocolat et pineau, ou comment joindre l'utile à l'agréable!





Images "chAcolat" concoctées en partenariat avec la Biscuiterie Lolmède, réputée à Angoulême pour ses excellents macarons et chocolats.





Les plaques de chocolat ornées de ces visuels ont été édités spécialement pour le festival, on pourra les trouver sur le stand de l'atelier du Marquis ( bulle "Nouveau monde" emplacement N26 ) -où ils seront signés- comme, évidement, à la boutique Lolmède...si on n'a pas tout mangé avant.
Bien sûr, je ne suis pas la seule à avoir participé à ce projet, tout l'atelier s'y est mis, et l'on pourra aussi trouver des images chAcolat d'invités de choix, comme Claire Wendling, Turf, Mazan...



...tant qu'on en est à la rubrique gastronomique, voici les 4 propositions pour étiquette de Pineau que j'avais faites l'été dernier, pour le Chai du Rouissoir.
Pour savoir laquelle a été retenue...ben, 'faudra venir sur le stand du Marquis!


dimanche 19 janvier 2014


... quelques dessins faits cet automne, en attendant mon bus ( lequel rapatrie aussi les lycéens venus de "zones péri-urbaines").


Petit accès d'égyptomanie aigüe aujourd'hui - j'écris depuis quelques jours le scénario d'un projet autour d'une jeune et entreprenante voleuse au temps de Tout-ankh-amon et j'ai ressorti quelques dessins antérieurs de mes cartons virtuels: rien de bien nouveau, certes, mais amusant à revoir...



mercredi 15 janvier 2014



Le festival d'Angoulême approche...Je vérifie donc (de façon parfaitement désordonnée, à mon habitude) le contenu de mes cartons, pour sélectionner ce que je vais bien pouvoir encadrer-déco du stand* oblige-, et j'étais assez fière de cette illustration, commandée pour le petit musée du site d'Embourie, où se trouvent les vestiges d'une villa gallo-romaine, quelque part en plein champ, à droite après le poulailler, derrière une ferme...

*Oui, l'Atelier du Marquis, dont je suis membre, aura son stand avec plein de trucs amusants (et nourrissants) à collectionner-j'y reviendrai ultérieurement...

jeudi 2 janvier 2014

Début d'année théâtral !



Leptis Magna, la grande capitale romaine de la province tripolitaine (l'actuelle Libye)aux ruines grandioses possédait plusieurs monuments intéressants où situer des scènes du tome 3 de mon polar antique (les Ombres du Styx); comme j'ai le nez dans la doc concernant les théâtres ( j'ai effectué quelques illustrations pour des sites archéo de Charente ), autant utiliser ces infos! Et voilà comment on se retrouve à faire des forêts de colonnes, et des ellipses de pierres...



Case en cours...


Case finie (pour la couleur directe, maintenant faut passer aux corrections sur ordi...)


...et théâtre des Bouchauds (Charente), rien à voir avec Les Ombres du Styx , tout à voir avec le patrimoine charentais.

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